dimanche 29 novembre 2009

Les virus sont à la mode : vive la publicité virale !

Il y a de ces épidémies pour laquelles non seulement il n'existe pas d'antidote, mais que nous aidons même à propager volontairement. Attention, n'allez pas penser que je vais vous parler de quoi que ce soit de médical ou de non-approprié pour un blog sur la publicité...

Nous participons tous, de façon consciente ou non, à la publicité virale. Un exemple ? Votre beau-frère vous envoie par courriel une pub vidéo, présentant des bébés qui dansent et qui roulent en skateboard d'une façon délirante, à la fin de laquelle apparaît le logo d'une entreprise. Vous vous bidonnez, vous la faite parvenir à vos collègues, qui la refileront à leurs amis - et ainsi de suite jusqu'à ce que votre beau-frère vous fasse parvenir une nouvelle vidéo. En propageant la vidéo, vous venez de faire gratuitement ce que nombre entreprises paient très cher pour effectuer : livrer un message commercial au plus de gens possible. La publicité virale, c'est ça; et il s'agit d'une arme redoutable en marketing pour peu que l'on soit placé dans le bon contexte, et que certains ingrédients de base fassent partie de la recette. Par contre, la pensée magique n'existe pas - il ne faut surtout pas croire qu'une bonne publicité virale, aussi propagée et sympathique soit-elle, est automatiquement garante de succès; comme toute bonne stratégie publicitaire, elle doit en être un élément mais non sa totalité.

Une publicité virale peut prendre plusieurs formes: vidéo, formulaire de concours, utilisation d'un service gratuit (Hotmail et Google le font de façon admirable) et sont quelques-uns. En somme, quelque soit la forme que prendra votre publicité virale, il lui faudra adhérer à plusieurs de ces principes de base : facilité à être transférée d'une personne à l'autre, promotion d'un service ou d'un produit gratuit, exploitation des comportements humains les plus communs, utilisation des réseaux de transferts déjà existants et des ressources de tierces personnes. Allons-y points par points.

Facilité à être transférée
Évidemment, comme tout bon virus, celui-ci ne sera efficace que s'il peut se propager rapidement et facilement. Donc, dans le cas d'une vidéo, il lui faut être très court et d'une résolution assez basse pour passer en attachement de courriel (visez un maximum de 4 ou 5 megaoctets). Un coupon-concours se doit d'être très alléchant, et facile à remplir et à envoyer; sa facture visuelle et son propos verront à sa popularité.

Promotion d'un service ou d'un produit gratuit
C'est la nature humaine : dès qu'on entend ou lit le mot GRATUIT, la curiosité prends le dessus. Si vous offrez un service professionnel, donnez une consultation gratuite, offrez un abonnement gratuit à votre lettre de nouvelle ou une entrée ''privilégiée'' à une conférence.

Exploiter les comportements humains
Faites rire ! Faites pleurer ! Faites réfléchir ! Mais attachez votre message à une émotion : rappelez-vous que l'émotion est le meilleur transporteur de votre message. Il vous faut tenir compte de l'émotion souhaitée dans le propos de votre publicité, car cela influencera le mode de propagation utilisé.

Utilisation des réseaux de transfert déjà existants et de tierces personnes
Il vous faut vous concentrer sur le message et la stratégie - et non pas réinventer la roue. les réseaux sociaux existent déjà et sont très populaires merci; servez-vous-en. Assurez-vous également de profiter de vos communications extérieures (courriels, publicités imprimées, communiqués de presse) pour propulser votre publicité virale. Faites-en la promotion de personne à personne, et vous utiliserez ainsi les réseaux sociaux des autres. La propagation se fera rapidement si vous lui donnez de façon constante une bonne poussée.

Et la publicité virale n'est certainement pas l'apanage des grandes entreprises uniquement; le principe de la propagation est simple à utiliser et gratuit, et c'est comme ça pour tous. C'est l'idéation et la réalisation de celle-ci qui demande un investissement. Par contre, rappelons-nous que l'imagination, même si elle est monnayable, est à la base tout à fait gratuite...

En résumé, la publicité virale est possible, captivante, originale et réalisable. Incorporée dans une stratégie plus large, et selon le message à véhiculer, il peut s'agir de l'élément déclancheur tant recherché.

PS : La fameuse pub des bébés qui dansent et font du skateboard existe vraiment : c'est l'embouteilleur d'eau Evian qui l'a produite au coût de près de 1 million $. Vous la trouverez facilement sur Youtube, en cherchant avec les mots Babies, Skateboard et Evian. Délirant - et vous pourrez après l'avoir visionnée et envoyée à votre beau-frère dire à tout le monde que vous avez fait parti d'une campagne virale pour Evian !

samedi 7 novembre 2009

Votre image sur le web : prenez-en le contrôle

Vous aurez constaté que votre entreprise est référencée sur le net de plusieurs façons : bottins en ligne, sites de commentaires, liens d'inscription à des réseaux sociaux et autres. En avez-vous fait le tour ? Vous pourriez être surpris des détails qui se retrouvent sur les points d'interception web concernant votre entreprise - ils sont souvent périmés, inexacts ou même carrément faux - car dans la vaste majorité des cas, vous n'avez pas été consulté avant que ces détails ne deviennent du domaine public. Il en va de même pour les sites de commentaires : visitez-les et voyez par vous-même ce que les gens pensent de votre entreprise.

Il sera important de mettre à jour ces informations ou de les corriger. Le plus souvent, les sites informatifs ont un onglet prévu pour les mises à jour, ou un indicatif de courriel dirigé vers les administrateurs du site, qui feront les corrections (pas toujours dans un délai rapide, hélas!). Quant aux sites de commentaires, eh bien, il y a deux façon de les interpréter : on peut être frileux quant aux commentaires et on souhaitera qu'il n'y aura rien de négatif, ou on s'en servira comme outil de marketing, ce que je vous recommande fortement.

En effet, pour peu qu'il se garde à jour de ce qui se dit sur les sites de commentaires, le commerçant aura le loisir de réagir et de corriger le tir. Le service n'était pas au goût du client ? Peut-être qu'un nouvel employé a besoin de coaching supplémentaire. Peut-être qu'alors le client pourrait se voir offrir une entrée gratuite lors de sa prochaine visite... Et puis, il vaut toujours mieux savoir ce qui se dit sur notre compte - profitez de ces plateformes de marketing pour demander à vos clients réguliers ou satisfaits d'aller apposer un commentaire sur tel ou tel site, en échange d'une consommation gratuite par exemple.

Il est bon de se rappeler que plusieurs moteurs de recherche naviguent sur la toile, recherchent et regroupent ces commentaires et informations. Raison de plus de s'y intéresser, et de s'y investir.

Après tout, il en va de l'image publique de votre entreprise...

Je vous suggère le site www.weblocal.ca - si vous voulez voir un bel exemple de profil de référencement, visitez sur ce site l'inscription du restaurant Le fil d'Ariane de Joliette

dimanche 1 novembre 2009

Pub sur le web : soyez stratégique - 6e partie

Avant de mettre vos mains dans vos poches, assurez-vous d'avoir fait le tour du jardin ''gratuit'' de la pub sur Internet. Vous serez alors plus à même de faire les bons choix d'investissement afin de donner le coup d'envol à votre stratégie web. Envoi de courriels de masse, concours en ligne, placement de bannières / hyperliens sur des sites respectés et achalandés, inscription à un site de référencement avec photos et vidéo... ce ne sont pas les options qui manquent.

Il sera important de vous adjoindre les conseils d'un professionnel avant de prendre des décisions, car non seulement cela peut entraîner des coûts importants, mais bien générer une stratégie web qui ne sera pas pleinement efficace. Je vous conseille d'utiliser le principe des points d'interception interreliés : utilisez les réseaux sociaux (Facebook et compagnie, même un blog gratuit comme celui-ci) pour vous constituer une première plateforme interconnectée, et complétez à l'aide de placements stratégiques comme des bannières ou une inscription à un site de référencement comme Weblocal.ca.
Laissez-vous aller, mais prudence : les bonnes stratégies ne sont pas toujorus les plus dispendieuses...

Pub sur le web : soyez stratégique - 5e partie

Ce dont vous avez besoin est une façon de référencer votre site corporatif le plus haut possible via les moteurs de recherche. Il faut ici comprendre que ces fameux engins de recherche positionnent les entreprises selon l'achalandage sur ledit site - plus il est actif et que de personnes y viennent, plus l'engin de recherche le placera au haut de la liste, dans un même temps, il fera le recoupage des mots-clés utilisés pour définir le site. Ces mots-clés servent à faire reconnaître votre site par les moteurs de recherche, et sont essentiels pour gagner du positionnement. Pour y arriver, plusieurs options s'offrent à vous. Dans un premier temps, acheter ce qu'on appelle des mots-clés donne de bons résultats, quoique cela peut vous coûter assez cher à long terme. Une autre solution, moins coûteuse et tout aussi efficace, est de vous servir de votre inscription à des sites de référencement (je vous suggère wwww.weblocal.ca qui est très efficace). Ces sites, il y en a plusieurs, incorporent à votre inscription des mots-clés pour la recherche, en plus d'inclure le nom du site de référencement lui-même à la liste. Ce qui fait que vous profitez de la force d'achalandage de tout le site pour votre inscription personnelle.

Pub sur le web : soyez stratégique - 4e partie

Passons aux choses sérieuses : votre point d'interception principal. Autrefois, la course au site Internet corporatif clinquant et visuellement grandiose a fait engloûtir des sommes faramineuses à plusieurs propriétaires d'entreprises. Il faut maintenent viser la pertinence, l'accès rapide et surtout le référencement, véritable nerfs de la guerre des solutions numériques en stratégies publicitaires. En fait, rien ne sert d'élaborer un site corporatif complexe et dispendieux si personne ou presque ne le visitera. Ce qu'il vous faut, c'est une stratégie de référencement. Qu'est-ce que cela veut dire ?

La vaste majorité des gens qui cherchent un bien ou un service sur le net vont utiliser un moteur de recherche générique (du style de Google, Yahoo ou Bing), y taper quelque chose comme ''plombier Montréal'' et se laisser suggérer des plombiers dont les informations sont disponibles en ligne. Et qui allez-vous appeler en premier ? Je vous le donne en mille : les premiers inscrits. C'est un réflexe naturel et personne n'y échappe - ni vous, ni le fameux plombier...

Pub sur le web : soyez stratégique - 3e partie

Dans la même veine, Twitter est un point d'interception qui pourra vous aider - à condition encore là de s'en occuper et de le mettre à jour de façon très régulière. Rendez-vous sur le site www.twitter.com, et suivez les instructions. Très simple, en fait; qui plus est, vous pourrez faire un hyperlien entre votre profil Facebook et votre espace Twitter, l'un renvoyant vers l'autre.

Vous avez la plume facile ? Pourquoi ne pas vous créer un blog ? Rien de plus simple. Le blog sur lequel vous êtes présentement (en passant, merci de votre intérêt, je l'apprécie!) a entièrement été créé sur www.blogger.com en moins de 15 minutes, tout à fait gratuitement. De nombreuses options vous permettent de personnaliser votre blog, selon votre goût et vos besoins. Et là encore, soyez stratégique : faites passer les Internautes par votre blog, et affichez-y les hyperliens vers votre site corporatif, votre profil Facebook, votre espace Twitter... Rien de plus simple, et vous venez de vous créer un mini réseau d'interception intelligent, simple à produire et à gérer, et gratuit de surcroît.

Pub sur le web : soyez stratégique - 2e partie

Identifions d'abord vos points d'interception ''gratuits'' (en fait, probablement que votre facturation au bottin local inclue déjà votre inscription aux moteurs de recherche). Vos publicités journaux sont déjà référencées (en archives sur les sites des journaux concernés) ou même font partie de la mise en page électronique de votre hebdomadaire (comme sur SmartEdition des hebdos de Transcontinental). Assurez-vous de toujours indiquer l'adresse de votre site Internet dans votre publicité - elle devient hyperlien dans les éditions électroniques ayant la mention SmartEdition.

Facebook est devenu un incontournable également - se créer une page commerciale est non seulement facile mais gratuit. Très simple à produire, votre profil Facebook pourra vous servir de véhicule de communication supplémentaire avec vos clients et amis. Par contre, il faut vous assurer de le tenir à jour régulièrement, en y ajoutant photos, vidéos et commentaires. Si vous êtes actifs sur votre profil, vos ''amis'' voudront y retourner. Prenez le temps de bien saisir l'importance stratégique des différentes options qui vous sont offerts sur Facebook.

Pub sur le web : soyez stratégique - 1ère partie

Si vous croyez n'avoir à ce jour aucune publicité sur le web, eh bien, laissez-moi vous dire que non seulement vous en avez, mais de plus, elle ne vous a pas coûté un rond...

Allez-y, faites le test : ouvrez un engin de recherche (du style de Yahoo ou Google), et tapez-y votre nom d'entreprise. Il y a fort à parier que vous avez déjà trois ou quatre inscriptions : publicités imprimées et référencées, inscription automatique aux bottins traditionnels, etc. Ce sont des points d'interception important, mais qu'hélàs, vous ne contrôlez pas. Ils existent, et c'est tout. Au cours des prochains textes sur ce blog, je vous donnerai des trucs pour profiter pleinement des stratégies web, gratuites ou non, et ainsi non seulement multiplier vos points d'interception web auprès de vos clients, mais également en faire des références intelligentes et informatives. Après tout, pour quelques minutes de votre temps, vous pourrez vous concocter une stratégie très valable, simple à gérer et aussi peu coûteuse qu'efficace.

dimanche 25 octobre 2009

Les journaux... en péril ? - épilogue

Conseil aux lecteurs et aux annonceurs : profitez pleinement des avantages des versions imprimées et numériques des journaux, et découvrez-y ce qui vous plaît vraiment. Point final.

Les tendances, sondages et prophètes de malheurs ne décideront pas à votre place la façon dont vous aimez recevoir, consulter et manipuler l'information qui vous intéresse. Nous sommes à l'ère, et grand bien nous en fasse, où votre préférence existe déjà. Ceux et celles d'entre nous qui aiment interagir avec les autres consommateurs d'information ont le loisir de le faire sur des plateformes de grande qualité; les annonceurs ont plus d'options de visibilité que jamais; et les traditionnalistes ont toujours le bonheur de s'installer dans un bon fauteuil pour lire ',leur'' journal.

Et ce n'est pas l'arrivée des générations X, Y ou Z qui va y changer quoi que ce soit. Avoir le choix, voilà une variable qui ne changera probablement jamais...

Les journaux... en péril ? - 5e partie

Au niveau des annonceurs, ceux-ci font face présentement à des options de placements publicitaires qui n'y étaient pas récemment - à plus forte raison les annonceurs provenant des régions. Tout à coup, en plus de la publicité traditionnelle dans le journal hebdomadaire, ils ont la possibilité de profiter d'un concours en ligne, de bannières qui amèneront le lecteur / internaute vers leur site Internet, d'inscriptions à des sites de référencement très performants, et tout cela à des coûts très minimes.

Je suis de ceux qui croient que la base de toute publicité, ou campagne publicitaire, est la stratégie, purement et simplement. Prendre le temps de penser à ce que l'on veut acconmplir et à quel coût, voilà le premier travail sur lequel il faut se pencher. Et le journal devrait faire partie de cette stratégie - à ce que je sache, une forte majorité des gens savent toujours lire, et même y prennent plaisir...

Les journaux... en péril ? - 4e partie

Les copies imprimées sont là pour rester, du mois pour un bon bout de temps. Les technologies changent, mais les gens, eux, changent collectivement à une vitesse beaucoup plus... raisonnable. Plusieurs d'entre nous aiment encore déjeuner en lisant le journal plutôt qu'en regardant un écran. Même phénomène si vous prenez le transport en commun, en fait.

Ce qui ne veut pas dire de se mettre la tête dans le sable - les lecteurs et les annonceurs veulent avoir l'option de suivre la parade ou non. Vous ne désirez plus recevoir une copie imprimée de mon journal, monsieur lecteur ? C'est parfait - vous pourrez le consulter en ligne quand bon vous semble, nous pouvons vous faire parvenir les mises à jour quotidiennes par abonnement gratuit via courriel, et notre site Internet contient en rédaction et en publicité tout ce qui peut vous intéresser en rapport avec votre communauté immédiate. Toutes ces options sont non seulement disponibles au moment d'écrire ces lignes, mais déjà très populaires.

Les journaux... en péril ? - 3e partie

Le point commun de tous les journaux, vendus ou gratuits, est le virage rapide vers les solutions numériques auxquels on assiste. Pratiquement tous les journaux sont maintenant sur le web (parfois malhabillement) - et c'est le lecteur qui en profite en premier lieu, suivi de près de l'annonceur. Prenons le cas des journaux en ligne de type ''Smart Edition'', disponibles entre autres chez Transcontinental, mais également auprès d'autres groupes de presse. Le lecteur peut, dans le confort de son foyer, consulter son journal en ligne en ''tournant'' les pages. Il pourra se faire lire son journal, se le faire traduire en plusieurs langues, envoyer un article intéressant à un ami, et même visiter les sites web des annonceurs qui auront eu le réflexe d'inciquer leur adresse web dans la publicité. Le lecteur peut également réagir à l'article en faisant un commentaire en ligne. Du web de 2e niveau à son meilleur...

Est-ce que cela remet en question l'impression de journaux traditionnels ?

Les journaux... en péril ? - 2e partie

Donc, dans un avenir pas si lointain, les journaux à copies vendues deviendront rares; au plus, on paiera pour les recevoir chez soi, mais ils seront gratuits en kiosques et en points de dépôts. Reste donc les hebdomadaires locaux (les traditionnels ''journaux de semaine'') qui arrivent à votre porte, la plupart du temps en même temps que les circulaires. Ceux-ci s'en tirent beaucoup mieux, car ils profitent déjà d'une distribution établie, et que les copies sont gratuites. Donc, le modèle financier est déjà en place pour en assurer la pérénité.

Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas péril en la demeure. Exemple : les entreprises nationales ont, à cause du contexte actuel du marché, sensiblement diminué leurs placements publicitaires dits nationaux (fabricants automobiles, grandes chaînes de commerces de meubles, etc.), ce qui vient impacter les revenus. Par contre, la notion d'achat local vient y pallier quelque peu, et nombreuses sont les associations d'affaires locales qui mettent l'épaule à la roue pour faire valoir les attraits des commerces de proximité.

Les journaux... en péril ?

La situation est claire pour tous : les quotidiens traversent une période difficile. Leur mission est de livrer de l'information généraliste et nationale - ce qu'ils font en majorité très bien depuis des lustres - mais là où cela se complique, c'est au niveau de la structure financière: une partie de leurs revenus repose sur les copies vendues et l'abonnement, en plus de la publicité évidemment. Donc, tenant compte que les lecteurs sont de mois en moins portés à payer pour de l'information, et que les avenues publicitaires moins dispendieuses se sont multipliées au cours des dernières années, on assiste à la période difficile que l'on connaît.

C'est pourquoi les journaux imprimés se cherchent présentement des crénaux spécifiques : quotidiens à lecture dite ''rapide'' disponibles près des accès au transport en commun, hendomadaires culturels et autres. Et il est à noter que la notion de copie payée à disparu de ces nouvelles publications. Le modèle d'affaire est en réinvention, et personne n'oserait aujourd'hui lancer une nouvelle publication que le lecteur devrait payer...

samedi 24 octobre 2009

Prophètes de malheur...

Comme à toutes les périodes de l'histoire où nous avons assisté à l'arrivée de nouvelles technologies, il s'en est toujours trouvé pour annoncer du même coup la mort de la technologie précédente.

L'arrivée de la radio a annoncé la mort des journaux imprimés, et l'arrivée du cinéma a à son tour annoncé la fin de la radio. Et du coup, lorsque les films ont étés disponibles en cassettes vidéo, les prophètes de malheur on crié haut et fort que plus jamais personne n'irait au cinéma.

Ce que tous ces ''nouveaux médias'' ont en commun, sans exception, est le fait que la nouvelle technologie a forcé une réinvention et un nouveau positionnement de la précédente. Et c'est très bien ainsi - il en sera de même pour le web, qui oblige actuellement l'ensemble du monde des communications à se questionner et à se réinventer. Si vous le voulez bien, nous en ferons le tour au cours des prochains textes...

Mon premier blog...

Mon premier bonjour à vous tous :)

Je me suis finalement décidé : mon propre blog. Il me faudra être imaginatif pour capter votre attention et partager avec vous mes vues sur la nouvelle, la transmission de celles-ci, la pub en général et le web en particulier.

Je travaille dans le monde des communications depuis maintenant 25 ans, d'abord comme concepteur publicitaire et maintenant à la vente de celles-ci - j'ai traversé la ligne... et j'adore ça. Comment ne pas aimer travailler avec des gens passionnés ? Et puis, je me dis que mon expérience et mon sens de l'humour pourront éventuellement vous faire passer quelques bons moments en ma compagnie. Dans ma tête à moi, les bons moments valent la peine de s'y investir !